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- Le Bavard de Lyon23 juin 1881plus de l'Assommoir. On l'a vue l'autre jour, à quatre heures du matin, bu-vant un mêlé-cassis, au pied humide du quai Saint-Antoine. # Il y a eu, vendredi dernier, grand festin chez'essen-tiel est que cène soit pas un homme. Laissez-moi le dire : cette mode est ridi-cule. Et je ne n'ai que du dégoût pour, ces lèvres de femmes, si roses, si pures, si vermeilles, humides des
- Le Bavard de Lyon23 juin 1881, bu-vant un mêlé-cassis, au pied humide du quai Saint-Antoine. * Il y a eu, vendredi* dernier, grand festin chez Annette la Licheuse. Le Champagne a coulé à flots. Au dessert, on a homme. Laissez-moi le dire : cette mode est ridi-cule. EfAje ne n'ai que du dégoût pour ces lèvres de femmes, si roses, si pures, si vermeilles, humides des caresses léchées parle
- Le Bavard de Lyon02 juin 1881tenu. Cours forcé. Très-lourd, ci Léger. Si J. RICHARD. m MOEURS LYONNAISES r, fa LES PIEDS HUMIDES \\ Chez la mère Pinet (quai des Célestins) , i i m Chaque pays a ses coutumes-J faisants abris? Et ce ne sont pas seulement les lyonnais qui doivent apprécier l'utilité dw pieds humides, ce sont surtout Jes ma/* raichers et marâiohèros qiii, levés bien avant le jour
- Le Bavard de Lyon02 juin 1881. Victorine. Bien tenu. Fonfon. Cours forcé. RositaBébd. Très-lourd. Tonine Françon. Léger. J. RICHARD. ,
- Le Bavard de Lyon02 juin 1881W»P. 12. Les pieds humides,.., »-DE UTÛUfl. 13 Portrait mondain.... EMILE BRQISSAY. 14. Revue delà mode.... ■" RAYMONBE. 15. Balivernes L-MASSIN. 16. Théâtres D0RSAY. 17. Charade trouva Poujeard. Ce jour là, M" 3 de Lagrevol fut l'ange accusateur de Pru-d'hon ; la torche en feu, d'une main, il traî-nait, de l'autre, le misérable aux pieds de ses juges. Cette
- Le Bavard de Lyon02 juin 1881(D'Dvs-GBANOES) DAUBRUCK. S 9. Ce que j'aime BE SAINT-SOT 10. A couse-qui nous lisent \ peu...... L. AUGÉ-BRION. 11. Bourse de Cythère J. RICHARD. 12. Les pieds humides.... A-DE LATOUR. ! 13. Portrait-a, pérô ; il trouva Poujeard. Ce jour là, Me de ff Lagrevol fut l'ange accusateur de Pru-»j d'hon ; la torche en feu, d'une main, il traî-w Haie, de l'autre, le misérable aux pieds de ve
- Le Réveil lyonnais25 novembre 1881-pasmodique du Serpent, de Lyon, '.i8, rue Lanterne.'"'-A Par ces temps humides, prévenez maux de gorge, laryngites , et bronchites , par l'usage, des pastilles dites Gargarisme ISarn
- Le Réveil lyonnais25 novembre 1881mes chevaux de relais à la station de la gare des Rrotteaux; il était près de sept heures du soir, A ce moment, le sieur Rorognicr, pro-priétaire du pied humide à l'angle du bou
- Le Carillon de St-Georges24 juillet 1881'asti- àgrolasserdebuvetteen pieds-humides tous les est vrai que celui-ci marchait pieds nus et que, la seule fois en sa vie qu'il se pava une entrée triomphale à Jérusalem, ce fut une modeste bourrique qui eut l'honneur de porter l
